KING BISCUIT VOLTAGE DIARRA

De l’album à la scène

Je rencontre le groupe en 2016. C’est alors un duo de blues-punk (guitare-voix/violons-voix) jouant sur des estrades amplifiées. Je réalise leur premier album Well well well (sortie en 2017). Le violoniste Fred Jouhannet ne pouvant pas faire la tournée, je monte sur scène avec un set hybride de grosse caisse à la main, synthé basse et mandobox (instrument fait sur mesure pour imiter les pizzicati de violon).

Le rêve anglais

En 2019, nous partons pour Bristol avec Tatiana Mladenovitch (alias Franky Gogo) à la batterie. Nous enregistrons un second album Hammer it ! avec John Parish. L’album est produit par mon label Joie’n’Records Productions et sortira en plein confinement en février 2020.

Le rebond post-confinement

Le groupe King Biscuit se lance alors dans une nouvelle aventure et collaboration en invitant le multi-instrumentiste Oua-Anou Diarra. Issu d’une famille de griots du Burkina-Faso, Oua-Anou propulse sa tradition dans le XXIe siècle en y ajoutant pédales d’effet et amplification. Tous le groupe se met au diapason. Je réintègre la batterie avec une touche 2.0 en “l’effectant” en temps réel avec Ableton Live et Annie Langlois nous rejoint aux synthés.

Faire de l’Histoire, une nouvelle histoire

Pour ce nouveau chapitre, l’idée est de tirer un trait d’union entre les musiques africaines et le répertoire de King Biscuit.
Le groupe revisitera son répertoire (2 albums et 1 EP) avec Oua-Anou Diarra comme nouveau membre du groupe. Quelle meilleure excuse pour bousculer les morceaux et aller piocher dans l’Afrique de nouvelles inspirations.

Une nouvel album au titre éponyme King Biscuit Voltage Diarra, il sortira en 2024. Il est à nouveau produit par JNR.